Et si un des soutien est attaqué ?
Nous avons 3 unités italiennes (vertes) et 2 françaises (bleues). Voyant la menace italienne sur la Bourgogne, les Français font un blocus de soutiens : Ils se soutiennent les uns les autres.
Armée Bourgogne soutient armée A RUH
Armée Rhur Soutient Armée Bourgogne
Les Italiens qui décident d'attaquer avec la Picardie et de soutenir son action avec le reste des troupes :
Armée Picardie attaque Bourgogne
Armée Paris soutient Armée Picardie qui attaque Bourgogne
Armée gascogne soutient Armée Picardie qui attaque Bourgogne
Les Anglais en rose :
Arméebretagne attaque PAris
Analysons la situation :
a Bourgogne soutenue par la Ruhr à un potentiel de défense de 2 (1+1 en fait). De même pour la Picardie qui attaque soutenue par Paris et la Gascogne avec un potentiel de 3. Normalement le combat est du 3 contre 2 en faveur des italiens (verts) donc l'armée de Bourgogne est vaincue et doit battre en retraite.
Mais notre Anglais vient ennuyer les Italiens, car Paris doit se défendre contre l'attaque Brestoise. Même si rien ne se passe entre eux puisque c'est du 1 contre 1, le soutien de Paris à la Pircadie pour l'attaque de la Bourgogne est coupé : la Picardie n'attaque qu'avec un soutien (celui de Gascogne) ... En Bourgogne c'est en fait, donc, du 2 contre 2 et l'armée italienne de Picardie n'arrive pas à percer en Bourgogne, c'est un match nul, un stand off, et en fait, rien ne se passe.
Vous voyez, il n'est pas grave parfois d'attaquer sans un soutien (cas de l'attaque Anglaise), car on peut changer l'avantage d'une autre bataille. La France à certainement demandé à l'Anglais de couper un soutien éventuel Parisien (le Français se doutait certainement de ce soutien).
La diplomatie voudrait que l'Anglais, pour toujours rester allié avec l'Italien lui dise : "C'est con vieux, j'croyais que ton armée de Paris attaquait en Bourgogne, j'pouvais pas savoir que tu allais rester là. Excuses, je ne voulais pas te faire perdre ton action contre ces connards de Français.". En fait, s'il a fait ceci, c'est sur demande du Français... et l'Italien croit toujours qu'il est un allié. Subtile, non ? Diplomacy c'est çà, des semi alliés, des semi ennemis.